[Dossier Cancer] Le corps scientifique et médical toujours en première ligne

Les professionnels de santé jouent bien sûr un rôle déterminant dans l’accompagnement des malades. Des chercheurs aux infirmiers, des laboratoires pharmaceutiques aux hôpitaux publics et privés, ils sont en première ligne pour toujours mieux diagnostiquer et soigner les malades, mais aussi les informer.

 

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Ce que les patients attendent du corps médical ? Des traitements avant tout ! Une demande qui passe par le développement de la recherche clinique : plus de 50 000 patients ont ainsi été inclus dans des essais cliniques en cancérologie en 2016, ce qui représente une hausse de 4,45% sur un an1. Mais l’accès à une information fiable et compréhensible fait aussi partie de leurs attentes. Cette demande forte a débouché sur un pacte d’information : loi de 2002 consacrant les droits des malades, création de l’Institut national du cancer, mise en œuvre de trois Plans cancer successifs… Mais un nombre important de patients témoigne encore des difficultés à comprendre l‘information : environ 46% déclarent que l’information fournie est « trop compliquée » et environ 33% des patients jugent que l’information a été donnée en quantité « trop importante »2.

À la recherche de thérapies ciblées

Les médecins-chercheurs sont au contact direct des patients, ils assurent eux aussi un rôle d’information dans le suivi des malades à travers une meilleure connaissance des mécanismes de la maladie. Ils sont bien sûr des acteurs-clés du processus de guérison grâce à la recherche menée en collaboration avec les laboratoires pharmaceutiques et à leurs découvertes scientifiques. Parmi les dernières avancées dans le traitement des cancers, l’oncologie de précision révolutionne l’approche de la maladie. Désormais, certains cancers ne sont plus traités en fonction de l’organe touché mais selon le profil moléculaire de la tumeur, où qu’elle se situe dans le corps. L’oncologie de précision permet ainsi de personnaliser le traitement en l’adaptant au génome de la tumeur du malade. Un traitement sur-mesure qui redonne espoir car il peut réussir là où d’autres, moins spécifiques, ont échoué. Cette médecine de précision est aujourd’hui l’un des axes majeurs de recherche dans lequel investit Bayer.

Les premiers résultats obtenus avec ces médicaments sont très encourageants. C’est bien là la raison d’être des femmes et des hommes qui travaillent chez Bayer.

 

Une nouvelle relation entre médecins et patients

Au-delà de l’impact sur la maladie et la qualité de vie des malades, ces nouveaux traitements personnalisés transforment chaque jour la relation médecins-patients. Ils ouvrent en effet un nouveau champ thérapeutique et redonnent confiance dans la capacité à traiter le cancer. Ils permettent aussi d’aider le patient à mieux comprendre sa maladie, dont on maîtrise beaucoup mieux la nature et l’évolution grâce au profil moléculaire.

 

Est-ce que la médecine personnalisée via le profilage moléculaire va devenir la routine dans un futur proche ? En un mot, la réponse est oui…
Pr Jean-Yves Blay
,
Directeur général du Centre de lutte contre le cancer Léon Bérard à Lyon

Quelle implication de Bayer dans le traitement des cancers et l’accompagnement des patients ?

Engagé en oncologie depuis 2006 et fort de plusieurs centaines d’experts chercheurs médecins, pharmaciens, biologistes en oncologie, Bayer investit :

 

//// Dans la recherche de traitements pour des cancers répandus mais aussi rares, à différents stades de la maladie telles que le cancer colorectal, le cancer du foie, le cancer de la prostate ou encore les tumeurs stromales gastro-intestinales (GIST) ;

//// Dans le parcours de soins et de santé des patients et pour le bon usage des médicaments ;

//// Dans de nouvelles voies de recherche et dans la mise à disposition pour les patients de nouveaux médicaments innovants avec notamment le lancement d’un traitement de précision lié non plus à une indication mais au profil génomique de la tumeur ;

//// Dans des partenariats avec des parties-prenantes externes pour développer des solutions digitales (applications), mais aussi l’usage de l’intelligence artificielle pour accélérer la recherche, affiner le diagnostic et optimiser le traitement des patients atteints de cancer, notamment en exploitant toujours mieux les informations issues de l’utilisation du médicament.

1Institut national du cancer : https://www.oncorif.fr/wp-content/uploads/2018/07/INCa_Cancers_en_France_2017.pdf

2La ligue contre le cancer : la vie deux ans après le diagnostic de cancer, DREES INSERM - https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/vie_deux_ans_apres_cancer_2008.pdf

 

 

 

PP-UN-ONC-FR-0023-1 / PP-OTH-FR-0037-1

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