Nos innovations en oncologie pour combattre le cancer

Aujourd’hui, les progrès menés en oncologie sont considérables. L’allongement de la durée de vie des patients diagnostiqués avec un cancer s'est accru. Le développement des thérapies ciblées a largement contribué à l’amélioration du pronostic de ces maladies.
Bayer est un acteur engagé et responsable pour une prise en charge optimale des patients atteints de cancer, et l’innovation dans ce domaine est une réponse aux besoins et aux attentes des professionnels de santé et de leurs patients.
Bayer propose une nouvelle approche de l’oncologie pour faire progresser la prise en charge des cancers les plus difficiles à traiter : cancers rares avec certaines anomalies génomiques (parfois pathognomoniques du diagnostic), aussi bien chez l'adulte que chez l'enfant, cancers avancés ou formes réfractaires telles que le cancer colorectal, le cancer du foie, le cancer du rein, le cancer de la prostate, le cancer de la thyroïde ou encore les tumeurs stromales gastro-intestinales (GIST).
La contribution de Bayer au traitement du cancer constitue un axe stratégique prioritaire. Depuis plusieurs décennies, avec la succession des plans Cancer et la création de l’INCa, la France a mis en place des structures de recherche permettant l’accès à l’innovation thérapeutique. Cet engagement a permis à la France de représenter un modèle mondial dans le développement de projets pour lutter contre le cancer. Dans ce domaine thérapeutique qui doit répondre à des enjeux majeurs, la convergence est naturelle entre Bayer et les acteurs de santé. Les patients peuvent bénéficier des essais thérapeutiques sur les molécules les plus innovantes.
Innover, ce n’est pas seulement apporter les molécules qui vont révolutionner la prise en charge des cancers les plus fréquents. Innover, c’est aussi :
- Redonner de l’espoir aux patients en impasse thérapeutique,
- Accompagner les patients dans leurs parcours de santé et dans le bon usage des médicaments,
- Améliorer leur qualité de vie et préserver leur autonomie.
Cancer du rein : des thérapies ciblées
Cancer du foie : retarder l’évolution
Cancer colorectal : un des cancers les plus fréquents
Cancer de la prostate : limiter les complications
Cancer de la thyroïde : traitement par l’iode
Les GIST (tumeurs stromales gastro-intestinales) : une forme rare de cancers
La médecine de précision : vers une approche individualisée des traitements
Cancer du rein : des thérapies ciblées
L’incidence du cancer du rein en France est estimée à 10 125 cas en 2009. Il représente environ 3% des tumeurs malignes de l’adulte et est le 9ème cancer en termes de fréquence. Souvent diagnostiqué tardivement, son incidence est en augmentation depuis une trentaine d’années, en rapport vraisemblablement avec un nombre plus important de découvertes fortuites. Il est deux fois plus fréquent chez l’homme. L’âge moyen du diagnostic se situe à 65 ans.1
L’espoir offert par les thérapies ciblées
Le traitement du cancer du rein se fait grâce à une approche multidisciplinaire. L’option thérapeutique privilégiée est l’ablation chirurgicale de la tumeur, voire du rein entier. Les thérapies ciblées constituent une option thérapeutique au stade métastatique.
Cancer du foie : retarder l’évolution
Le carcinome hépatocellulaire représente 90% des cancers primitifs du foie et se développe presque toujours sur une hépatopathie chronique, qui est le plus souvent une cirrhose.2 Dans le monde, en 2015, il y a eu 854 000 nouveaux cas de cancer primitif du foie et 810 000 décès liés à cette pathologie (2ème rang parmi les cancers). Le virus de l’hépatite B rend compte de 33% des décès liés au cancer primitif du foie, l’alcool de 30% et le virus de l’hépatite de 21%, avec de grandes variations selon les régions du monde.3 En France métropolitaine il y a eu, en 2017, 10 705 nouveaux cas de cancer primitif du foie, soit 6 fois plus qu’en 1980.4
Le dépistage du cancer primitif du foie chez les patients cirrhotiques repose sur la réalisation d’une échographie hépatique tous les 6 mois.
L’information des patients est un élément clef. C’est pourquoi, en partenariat avec le réseau IDS Santé, Bayer a lancé une campagne d’information sur le dépistage du cancer primitif du foie chez les patients atteints de cirrhose d’abord auprès des hépato-gastro-entérologues, puis, dans un deuxième temps, auprès des médecins généralistes qui sont également des professionnels de santé importants dans le relais d’information de santé publique. Ainsi, en juin 2015, l’Association Française pour l’Etude du Foie (AFEF) soutenue par Bayer et avec l’expertise de SOS hépatites, a lancé une campagne de sensibilisation et de détection précoce du cancer primitif du foie chez les personnes à risque.
Ces campagnes ont pour vocation de sensibiliser les patients atteints de cirrhose à l’importance du dépistage du cancer du foie et à la nécessité d’une surveillance régulière.
Une prise en charge diagnostique et thérapeutique en pleine transformation
La première étape du diagnostic se fait par analyse de sang et échographie. Elle permet d’identifier des nodules qui pourraient être un carcinome hépatocellulaire. Le scanner et l’IRM sont utilisés dans un second temps pour confirmer le diagnostic.
La lisibilité des images radiologiques s’est nettement améliorée. Comme la substance injectée lors de l’examen s’accumule de manière sélective, en ciblant uniquement les cellules hépatiques saines, les lésions malignes du foie deviennent nettement visibles. Cela permet donc de déterminer non seulement l’étendue mais aussi la nature de la tumeur.
En thérapeutique, les critères de sélection des patients pour la transplantation hépatique se sont affinés. Les résultats de la résection hépatique se sont améliorés en termes de survie sans récidive. La place des traitements loco-régionaux est mieux définie. Mais la plus grande transformation thérapeutique actuelle est la mise à disposition de nouveaux médicaments d’efficacité prouvée en situation palliative.
Retarder l’évolution des cancers du foie
Même si les résultats peuvent paraître encore modestes en termes de survie globale, il s’agit d’une révolution si l’on regarde d’où l’on vient : jusqu’en 2008, il n’y avait aucun médicament connu pour être efficace.
Depuis, plusieurs traitements ont montré qu’ils pouvaient freiner le développement de la tumeur en :
- Inhibant la division des cellules cancéreuses,
- Empêchant l’apport en sang dans la tumeur et donc en nutriments.
Cancer colorectal : un des cancers les plus fréquents
Le cancer du côlon-rectum est en France la 2ème cause de décès par cancer et se situe au 3ème rang des cancers les plus fréquents 5.
Des symptômes peu perceptibles
Neuf fois sur 10, les cancers colorectaux sont diagnostiqués chez des personnes de plus de 50 ans. Dans la majeure partie des cas, les symptômes ne sont malheureusement que très peu perceptibles. Le cancer peut se développer « en silence » chez le patient sans qu’il puisse détecter de signes spécifiques.
Le cancer colorectal se soigne mieux lorsqu’il est dépisté tôt !
Le dépistage est essentiel. Il vise à détecter, en l’absence de symptômes, des lésions susceptibles d’être cancéreuses ou d’évoluer vers un cancer.
En effet, le cancer du côlon se développe à partir de lésions bénignes, les polypes. En grossissant, ces derniers peuvent se transformer en cancer, et provoquent souvent des saignements invisibles à l'œil nu. La détection des gros polypes et leur ablation permet de réduire le risque de cancer colorectal.
Par ailleurs, un nouveau test est disponible, notamment auprès des médecins généralistes, qui est remis aux personnes de 50 à 74 ans, dans le cadre du programme de dépistage organisé du cancer colorectal. Ce test repose sur la détection de la présence d’hémoglobine humaine dans les selles grâce à l’utilisation d’anticorps ; il permet ainsi une meilleure détection des cancers et des lésions précancéreuses.
Combattre le cancer colorectal grâce à une prise en charge multidisciplinaire
Différents types de traitements peuvent être utilisés en fonction du stade de la maladie et de l’objectif désiré. Ils comprennent notamment la chirurgie, la radiothérapie (pour les cancers du rectum) et la chimiothérapie. L'arrivée des thérapies ciblées a représenté une nouvelle avancée dans le traitement des cancers colorectaux métastatiques. Ces dernières ralentissent la croissance de la tumeur, soit en freinant la formation de vaisseaux dont la tumeur a besoin pour se nourrir, soit en interférant avec le développement de la tumeur.
Chiffres-clés
42 000 nouveaux cas par an en France.6 Entre 40 et 60% des patients atteints par le cancer colorectal présentent dès le diagnostic des métastases ou les développent durant la progression de la maladie.7
Cancer de la prostate : limiter les complications
Le cancer de la prostate, un cancer fréquent
Le cancer de la prostate est le plus fréquent des cancers en France. L’âge moyen au diagnostic est actuellement de 70 ans. Le nombre estimé de nouveaux cas en 2012 était de 56 800. Le cancer de la prostate se situe au cinquième rang des décès par cancer tous sexes confondus. Il représente 7,5% de l’ensemble des décès par cancer et se situe au troisième rang de décès par cancer chez l’homme. En France, 8893 décès par cancer de la prostate sont ainsi survenus en 2011. Le taux de mortalité augmente avec l’âge. Plus de trois quarts des décès surviennent après 75 ans, avec un âge médian de 83 ans.8-11
Le cancer de la prostate, qu’est-ce que c’est ?
La prostate est une glande de l’appareil génital masculin dont le rôle est de produire une petite partie des sécrétions qui, avec les spermatozoïdes, constituent le sperme.
Un cancer de la prostate se développe à partir d’une cellule normale, qui se transforme et se multiplie de façon anarchique, formant une masse appelée tumeur. La tumeur est d’abord limitée à la prostate. Avec le temps, cette tumeur peut grossir et s’étendre au-delà de la capsule prostatique, c’est-à-dire de l’enveloppe qui entoure la prostate et qui la sépare des tissus voisins. Cette expansion va se traduire par l’apparition de métastases. Dans 90% des cas, ces dernières se localisent au niveau des os et sont responsables d’un taux de mortalité élevé.12
Comment se manifeste le cancer de la prostate ?
Le cancer de la prostate, à son stade de début, est le plus souvent sans symptômes.
Dans une forme évoluée, il peut engendrer les symptômes suivants :
- Troubles de la miction
- Présence de sang dans l’urine ou le sperme,
- Ejaculations douloureuses,
- Troubles de l’érection.
Ces symptômes peuvent être causés par d’autres maladies de la prostate comme une hypertrophie bénigne de la prostate. Au-delà de l’impact pour la santé du patient, un impact psychologique non négligeable doit également être considéré dans la prise en charge de ce cancer.
Consulter un urologue est le meilleur moyen d’obtenir un diagnostic précis.
Combattre le cancer de la prostate par les traitements disponibles
Si un traitement est le plus souvent nécessaire, celui-ci est rarement urgent, du fait de la lenteur d’évolution du cancer de la prostate.
Les modalités de sa prise en charge dépendent du stade auquel la maladie est diagnostiquée.
Il peut s’agir de la chirurgie, la radiothérapie (radiothérapie externe et curiethérapie), la surveillance active (qui permet de différer la mise en route d’un traitement), l’hormonothérapie dont les nouvelles thérapies hormonales, et l’utilisation de médicaments radiopharmaceutiques. La chimiothérapie peut également être utilisée dans certains cas.
Cancer de la thyroïde : traitement par l’iode
La thyroïde est une glande endocrine qui est composée de trois types de cellules : les cellules folliculaires regroupées et organisées au sein de petites sphères appelées follicules ; les cellules parafolliculaires, situées autour des cellules folliculaires ; les cellules non spécialisées, qui forment les tissus de soutien ou les vaisseaux sanguins.
Chaque cellule fonctionne comme une petite chaîne de montage. La cellule capte, transforme et associe différents éléments comme la thyroglobuline ou l'iode en provenance de l'intérieur du follicule et des vaisseaux sanguins à proximité, pour fabriquer les hormones thyroïdiennes.
Le cancer thyroïdien est une tumeur maligne du corps thyroïde se présentant le plus souvent sous la forme d’un nodule. Il est découvert de plus en plus souvent, de façon fortuite, lors de l’examen anatomopathologique dans les suites d’une intervention chirurgicale pour une pathologie thyroïdienne banale. Il est plus rarement révélé par une métastase. Sur le plan histologique, les cancers thyroïdiens sont classés en quatre types principaux :
- Cancers différenciés : papillaires et vésiculaires
- Cancers médullaires
- Cancers indifférenciés ou anaplasiques.
Les cancers papillaires sont les plus fréquents (environ 70% des cancers) et prédominent chez les sujets jeunes. Ils ont un bon pronostic. Les cancers vésiculaires représentent environ 10 à 15% des cas. Leur pronostic est un peu moins bon que celui des cancers papillaires. Ces deux types de cancers thyroïdiens différenciés peuvent bénéficier du traitement par l’iode 131.
Les cancers anaplasiques ou indifférenciés, heureusement rares (moins de 3% des cas), sont d’une gravité extrême. Les cancers médullaires représentent 6% des cas environ.
Avec 8500 nouveaux cas estimés en 2010, dont 75% survenant chez la femme, le cancer thyroïdien représente actuellement, chez les femmes, la cinquième localisation cancéreuse la plus fréquente. L’incidence du cancer thyroïdien augmente en France comme dans la plupart des pays depuis les années 1970.13
Un traitement par iode
Si le traitement du cancer varie selon le type de cancer du patient, il inclut toujours, sauf contre-indication, l’ablation chirurgicale d’une partie ou de la totalité de la glande thyroïde. Dans les cas de cancer différencié de la thyroïde, après l’opération, le tissu thyroïdien restant peut être détruit grâce à un traitement par iode radioactif (irathérapie). Un traitement hormonal ou hormonothérapie est mis en place de manière systématique. C'est un traitement substitutif ou frénateur, il consiste en une prise quotidienne d'hormones thyroïdiennes de synthèse.
L’efficacité de l’iode radioactif est importante chez les patients ayant un cancer différencié. Malheureusement, une partie des patients échappe ou progresse à ce traitement. Une meilleure compréhension de la biologie moléculaire des cancers de la thyroïde a permis le développement de nouvelles approches thérapeutiques chez les patients réfractaires aux traitements conventionnels.
Les GIST (tumeurs stromales gastro-intestinales) : une forme rare de cancers
Les GIST ou tumeurs stromales gastro-intestinales sont une forme de sarcomes digestifs rares. Ce sont des tumeurs mésenchymateuses se développant dans la majorité des cas dans l’estomac et le grêle, plus rarement le rectum, le côlon, l’œsophage ou le mésentère. Leur incidence est estimée à environ 15 cas/million d'habitants/an, et l'âge médian au diagnostic est d'environ 60 ans.14
Une évolution lente
L’évolution des GIST peut se faire sur plusieurs mois voire plusieurs années. Leur découverte peut être fortuite (dans environ 25% des cas), à la suite d’un examen d’imagerie de routine ou d’une intervention chirurgicale, mais souvent à l’occasion d’explorations pour des symptômes digestifs ou une masse palpable. Elle survient parfois dans un contexte d’urgence, lorsque la tumeur se rompt et provoque une hémorragie digestive.15
Environ 40% des GIST localisées au moment du diagnostic donneront naissance à des métastases, et dans 10 à 20% des cas, les métastases sont déjà présentes lors de la découverte de la maladie.16
Prise en charge14
Le traitement de référence des GIST localisées opérables est la chirurgie. Les thérapies ciblées sont une option thérapeutique pour les patients atteints de GIST localement avancées ou métastatiques.
La médecine de précision : vers une approche individualisée des traitements
La médecine de précision ne concerne pas tous les cancers ou tous les patients. Elle permet d’identifier des groupes de patients dont les tumeurs présentent des anomalies moléculaires communes mais parfois rares, qui sont susceptibles d’être ciblées par des traitements spécifiques.
1 Projection de l’incidence et de la mortalité par cancer en France en 2011. Guide ALD 30 « Cancer du rein », juin 2010, www.has-sante.fr
2 European Association for the Study of the Liver. EASL Clinical Practice Guidelines: Management of hepatocellular carcinoma. J Hepatol 2018.69:182–236.
3 Global Burden of Disease Liver Cancer Collaboration. The Burden of Primary Liver Cancer and Underlying Etiologies From 1990 to 2015 at the Global, Regional, and National Level. Results From the Global Burden of Disease Study 2015. JAMA Oncol 2017; 3:1683-91.
4 Jéhannin-Ligier K et al. Projection de l’incidence et de la mortalité par cancer en France métropolitaine en 2017. Rapport technique. Saint-Maurice : Santé publique France, 2017.
5 Defossez G et al. Estimations nationales de l’incidence et de la mortalité par cancer en France métropolitaine entre 1990 et 2018. Étude à partir des registres des cancers du réseau Francim. Juillet 2019. Available from https://www.oncorif.fr/wp-content/uploads/2019/07/Synthese_Estimations-nationales-incidence-et-mortalite-par-cancer_juillet_2019.pdf (accessed 29 March 2020)
6 http://www.invs.sante.fr/Dossiers-thematiques/Maladies-chroniques-et-traumatismes/Cancers/Surveillance-epidemiologique-des-cancers/Estimations-de-l-incidence-et-de-la-mortalite/Estimation-de-l-incidence-et-de-la-mortalite-par-cancer-en-France-entre-1980-et-2012-Tumeurs-solides
7 Phelip JM et al. Metastatic colorectal cancer (mCRC): French intergroup clinical practice guidelines for diagnosis, treatments and follow-up (SNFGE, FFCD, GERCOR, UNICANCER, SFCD, SFED, SFRO, SFR). Dig Liver Dis. 2019 Oct;51(10):1357-1363. doi: 10.1016/j.dld.2019.05.03
8 Rozet F et al. Recommandations françaises du Comité de Cancérologie de l’AFU — Actualisation2018—2020 : cancer de la prostate. Progrès en urologie (2018), 28 : S79-S13
9 Grosclaude P et al. [Prostate cancer incidence and mortality trends in France from 1980 to 2011]. Prog Urol 2015; 25(9):536-4
10 INCa. Épidémiologie nationale du cancer de la prostate — données essentielles; 2012 http://www.lesdonneesecancerfr/les-fiches-de-synthese/1-types-cancer/10-cancer-prostate/19-epidemiologie-cancer-prostate-france-metropolitaineessentielleshtml-ind4.
11 Rebillard X et al. [Incidence and mortality of urological cancers in 2012 in France]. Prog Urol 2013;23(Suppl. 2): S57—65
12 Norgaard et al. Skeletal Related Events, Bone Metastasis and Survival of Prostate Cancer: A Population Based Cohort Study in Denmark (1999 to 2007). J Urol, 184; 1, July 2010: 162-167
13 Leenhardt Let al. Épidémiologie des cancers thyroïdiens dans le monde. Annales d’Endocrinologie (avril 2011), 72, 2 : 136-148
14 Thésaurus national de cancérologie digestive Tumeurs stromales gastro-intestinales (GIST) (Dernière mise à jour le 25/11/2019
15 Joensuu H et al. Gastrointestinal stromal tumour. Lancet 2013; 382: 973-983
16 Duffaud F et al. Gastrointestinal Stromal Tumors: biology and treatment. Oncology 2003;65: 187-197
PP-OTH-FR-0037-1